Certificat en communication web : quand la polyvalence ouvre des portes…

Pourquoi suivre le certificat en communication web ? L’expérience de Pierre-Yves, qui termine actuellement la formation et qui vient de décrocher un emploi dans le secteur, est édifiante.

Pierre-Yves a 27 ans. Diplômé en études européennes, il s’est occupé des relations presse et de la communication de Handicap International. En ce début d’année 2016, il décide de suivre le certificat en communication web. Bien lui en a pris : grâce au certificat, Pierre-Yves vient de décrocher un poste en communication dans le cabinet d’un échevin bruxellois. Selon lui, ce sont les différentes facettes de la communication web proposées dans le certificat qui ont été déterminantes. Son futur rôle sera de travailler l’image du cabinet sur les réseaux sociaux.Pierre yves TaT(1)

« Il est difficile pour certaines personnes de comprendre l’utilité des réseaux sociaux en politique. Lors d’une première rencontre avec la chef de cabinet, on a discuté et je lui ai dit ce que j’en pensais. Lors d’un deuxième entretien, j’ai fait une présentation dans laquelle je me suis inspiré des interventions qui ont été données lors du certificat, notamment celle de Benoît-Xavier Pirson. En réalité, j’ai parlé de choses auxquelles je ne m’attendais pas initialement : du marketing, du branding… Ce n’est pas vraiment pour ça que j’ai commencé le certificat mais plutôt pour le domaine des données et du journalisme. Au final, les aspects marketing et stratégie de communication m’ont servi ! »

Pierre-Yves n’est pas le seul à avoir trouvé un emploi à la suite du certificat. Lors de la première édition, d’autres apprenants ont eu cette chance. Les apprenants déjà occupés, quant à eux, sont retournés dans leurs entreprises respectives les mains pleines de ressources et la tête pleine d’idées.

La connaissance de l’écosystème web est au cœur de la formation car elle est indispensable aux professionnels de la communication. Le certificat est organisé par l’Ecole de Communication de l’UCL. Elle est destinée à celles et ceux qui souhaitent comprendre les métiers de la communication à l’heure du web et acquérir des compétences informationnelles, analytiques et éditoriales dans le champ du numérique.

La prochaine édition débute le 23 septembre 2016. Les cours et séminaires sont dispensés pendant environ trois mois les vendredis et samedi, à Mons, sur le campus de l’UCL. Les inscriptions sont encore ouvertes. Le certificat, composé de 156 heures de cours, est assorti de 18 crédits. Toutes les informations (cours dispensés, conditions d’admission, infos pratiques,…) se trouvent sur le site web du Social Media Lab. Financée par le FSE, cette formation de niveau universitaire permet à un public en activité, en recherche d’emploi ou en reconversion de se déployer dans un domaine en pleine expansion et d’entrevoir de nouvelles possibilités professionnelles.

La Social TV par les étudiants et pour les étudiants : une récolte d’idées très fructueuse

Jeudi dernier, le Social Media Lab et Télé MB ont participé à la semaine de la créativité en encadrant, de concert, des ateliers créatifs à propos de la télévision de demain. Durant toute la journée, une quarantaine d’étudiants a pu expérimenter des dispositifs d’information sur les réseaux sociaux tout en exprimant leurs idées, le tout sur le thème « La Social TV par les étudiants et pour les étudiants ».

Les étudiants, ressource pour la télévision locale

Toucher un jeune public est un défi majeur pour la majorité des télévisions locales en Wallonie. Télé MB en est conscient depuis plusieurs années. Pour les attirer, la chaîne de télévision a lancé il y a deux ans « 2015 histoires », une émission interactive ayant pour sujet Mons, capitale européenne de la culture en 2015. Télé MB testait ainsi pour la première fois le concept de Social TV. En permettant au public de réagir aux différents contenus via les réseaux sociaux, la chaîne espérait attirer de jeunes personnes de manière dynamique. Le Social Media Lab s’intéresse également à ces questions d’interactivité et de nouveaux médias. C’était donc l’opportunité pour les deux partenaires de laisser libre court à l’imagination des étudiants : qui d’autre pour imaginer quelle sera la télévision de demain ? Les idées des étudiants pouvaient donc émerger en étant adaptées au public visé. Et puisque l’on parle de télévision participative, ils pouvaient également imaginer des contenus productibles par des étudiants.

Une journée test

Ce jour de co-création a été un véritable laboratoire pour les deux partenaires qui ont expérimenté de nouvelles choses. Les étudiants ont été répartis en ateliers et changeaient de sujet de discussion toutes les demi-heures. Cependant, ne vous imaginez pas qu’ils aient été contraints de rentrer dans un moule défini par des professeurs : les étudiants s’auto-géraient. La seule consigne : trouver des idées et les approfondir. On tourne toutes les 30 minutes et pendant ce temps, l’impossible n’existe pas ! Un système très rentable puisque les esprits débordaient d’idées. Les étudiants ont également présenté à chaque fin d’atelier leur état d’avancement lors d’un live d’une minute, avant de présenter leur travail en fin de journée, retransmis en direct via YouTube et Hangouts également. Un second test tout à fait probant, qui s’est déroulé sans grosse erreur technique. Les présentations des étudiants sont encore disponibles en ligne. Finalement, puisqu’ils discutaient d’interactivité, les étudiants et extérieurs avaient également la possibilité de s’exprimer via le hashtag #campus2025. Il n’a pas fallu longtemps pour que les réactions s’enchaînent, entraînant parfois un peu de compétition positive. Au final, qu’il s’agisse du système de co-création, des moyens utilisés pour communiquer sur les progrès du travail ou encore de l’interactivité en elle-même, les différents essais menés par le duo SML-Télé MB se sont révélés très concluants.

Animer une véritable communauté étudiante

Pour Télé MB qui réfléchit à son avenir, il est tout à fait opportun de recueillir des idées parmi les étudiants. Non seulement parce qu’ils constituent un jeune public important à toucher, mais aussi parce que Mons est une ville estudiantine importante de la région. Deux universités et plusieurs Hautes-Ecoles accueillent chaque jour des milliers d’étudiants sur leurs bancs. Une véritable communauté qui fait vivre la ville et ses alentours. Dès lors, à l’heure où la télé ne se regarde plus seulement mais se vit, il convient de pouvoir animer cette communauté autour de sujets qui lui parlent. Il est alors intéressant pour la chaîne de télévision locale de voir comment les jeunes connectés produiraient du contenu pour leurs pairs. Intéressant aussi pour le Social Media Lab, qui compte réunir toute l’expertise nécessaire sur le sujet.

Challenge relevé !

Au final, ce sont quatre pilotes d’émissions qui ont été produits en une journée. L’enthousiasme des étudiants n’y a sans doute pas été pour rien. Stuly, Bande de Singes, InstaLife et On n’est pas kotés sont les projets développés par les étudiants. Ils constituent de grands réservoirs d’idées et de ressources pour Télé MB. De manière générale, les étudiants prônaient des émissions courtes basées sur des rubriques rythmées selon la vie des étudiants. Bien souvent, les téléspecta(c)teurs pouvaient choisir une rubrique dans la semaine ou poser des questions en live. Mais pas d’inquiétude : derrière cette tendance globale, chaque équipe a fait preuve d’une imagination étonnante. Cette journée, c’est finalement 100% de bénéfice pour le Social Media Lab et son partenaire puisqu’elle constitue la genèse d’un projet d’envergure. Rien ne sera laissé au hasard : Télé MB et le SML feront de ce rêve de Social TV étudiante une réalité au plus tard en 2017. Affaire à suivre…

Ne manquez pas le reportage de cette journée sur le site web de Télé MB !

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« Calculer la visibilité. Méthodes digitales et hiérarchisation des mondes numériques » : la leçon publique de Dominique Cardon disponible !

Dominique cardonLe jeudi 3 décembre 2015, l’Ecole de Communication de l’UCL fêtait ses 10 ans de présence dans le Hainaut. Pour l’occasion, le professeur Dominique Cardon, membre de Orange Lab, était invité par le Social Media Lab pour donner une leçon publique.

Dominique Cardon a récemment publié un ouvrage pédagogique, « A quoi rêvent les algorithmes ? Nos vies à l’heure du Big Data », duquel la présentation était inspirée. Alors qu’ils peuvent sembler effrayants au premier abord, que cachent les calculs numériques ? Qu’est-ce que la visibilité aujourd’hui et quelles méthodes digitales y sont associées ?

Découvrez ou redécouvrez l’exposé d’un sociologue particulièrement attentif aux transformations que peut subir l’espace public sous l’effet des nouvelles technologies de communication.

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La social TV par les étudiants et pour les étudiants à la semaine de la créativité

Le Social Media Lab, en collaboration avec TéléMB, participe à la semaine de la créativité en organisant une activité gravitant autour de la social TV, le jeudi 21 avril. La semaine de la créativité a pour but de "réveiller votre créativité, innover, fabriquer et créer la Wallonie de demain" (Creative Wallonia). Dans cette dynamique, l'UCL Mons organise des activités tout au long de la semaine du 18 au 22 avril, sur le thème "ton campus en 2025". Ce jeudi-là, les projecteurs se braqueront sur le Social Media Lab et TéléMB qui, de concert, proposent un atelier créatif aux étudiants.

 

Durant l'atelier proposé, les participants seront invités à créer une émission de Social TV réalisée par les étudiants à destination de la communauté estudiantine... Quelle serait la télé universitaire sociale et idéale en 2025 ?

Comment enrichir l'expérience audiovisuelle par l' interaction sociale et la dimension communicationnelle ?
Quel contenu pouvons-nous créer et sur quel support ?
Doit-on positionner le public au centre des préoccupations ?

La Social TV vous interpelle ...

 

Des ateliers de co-création
A travers des sessions de co-création, les participants réfléchiront ensemble au concept de l’émission, aux nouveaux usages en matière de création de contenu, à l'utilisation des technologies interactives et au(x) public(s) ciblé(s).
Les travaux créatifs seront encadrés par François Lambotte, professeur de Communication Organisationnelle et par des professionnels de l'audiovisuel et de la créativité qui nous accompagneront durant la journée.

Vivre l'expérience Social TV
Tout au long de la journée, les participants seront amenés à communiquer l'avancée des réflexions et du travail via les réseaux sociaux et un LiveStream.

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Programme de la journée
09h30 : Accueil
10h00 - 12h30 : Ateliers
12h30 - 13h30 : Pause (lunch offert aux participants)
13h30 - 16h00 : Atelier
16h15 : Présentation du projet Social TV

Le jeudi 21 avril au Social Media Lab de l'UCL (UCL Mons, 1er étage Bâtiment E)

Attention : inscription des étudiants souhaitée avant le 17 avril à l’adresse gaetan.santarelli@student.uclouvain.be

Plus d’informations 
Gaetan Santarelli (UCLMons)
Pierre Jean Burrion (TéléMB)
La semaine de la créativité à l’UCL Mons : http://www.campus2025.be/

Pour une première expérience, la social TV s’empare du Social Media Lab

Les 23 et 24 mars 2016 a eu lieu la première expérience au sein du Social Media Lab. C’est Gaétan Santarelli, étudiant de 2ème Master en communication à l’UCL Mons, qui l’a réalisée. Cette expérience a été menée dans le cadre de l’immersion professionnelle qu’il mène à TéléMB, la chaîne de télé locale de Mons-Borinage, également partenaire du Social Media Lab. Il nous fait part de son ressenti à propos des expérimentations menées au sein du laboratoire.

La Social TV de TéléMB : 2015 histoires

Mon projet d’immersion consiste en une analyse de la première émission de Social TV de TéléMB : 2015 histoires. La social TV, en quelques mots, c’est apporter une interaction sociale à la télévision, penser le contenu second écran, mettre le téléspectateur au centre du projet de l’émission. Cela implique un décloisonnement des différentes équipes de production et un travail important de community management. Ce nouveau concept de télévision, TéléMB l’a mis en place pour une émission culturelle ayant pour thème “Mons 2015, capitale européenne de la culture”. Dans son émission laboratoire, la chaîne a testé plusieurs idées et a varié la manière de présenter son contenu, le tout pendant deux ans. Ma mission consiste à apporter une analyse de cette expérience et à apporter des pistes d’amélioration pour les prochaines émissions de la chaîne. Pour mener à bien ce projet, j’ai administré un questionnaire auprès des téléspectateurs, j’ai mené des interviews auprès de l’équipe de production de l’émission et j’ai mis en place un dispositif expérimental au sein du Social Media Lab.

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salle expérimentation SML

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salle expérimentation SML
salon SML

Et si on transformait le labo en salon ?

Pendant deux jours, les responsables du Social Media Lab m’ont confié les clés du laboratoire flambant neuf. Même si tout le matériel qui y sera disponible n’était pas encore installé, j’ai pu y mettre en place un dispositif particulièrement intéressant. J’ai souhaité replacer des étudiants devant une émission de “2015 histoires” et les écouter lors de focus groups afin de comprendre leur perception de l’émission et leurs idées d’amélioration. Afin de les accueillir dans un contexte adéquat pour regarder la télévision, j’ai pu installer des fauteuils dans le laboratoire, disposer d’une télévision, etc. C’est dans un vrai petit salon que les étudiants ont pu s'asseoir pour regarder l’émission. Puisque l’émission se veut « connectée » j’ai remis en place la stratégie des réseaux sociaux utilisée par TéléMB et ce, en direct, lors de l’expérience. J’ai créé des groupes Facebook fictifs, un hashtag pour Twitter et j’ai placé un Tweetwall à côté de la télévision. Les cobayes pouvaient donc vivre l’expérience “2015 histoires” à 100 %, pendant que je m’occupais du community management dans la régie du lab, tout en gardant un œil sur leurs réactions et comportements !  

L’espace et l’équipe technique du laboratoire ont pu me permettre de mettre en place un dispositif expérimental tout particulier et innovant. Il m’a permis de récolter des données d’une grande qualité qui me seront utiles pour la production d’une analyse qui dépassera la simple observation. Ce travail apportera un regard réflexif à TéléMB qui souhaite poursuivre ses avancées dans la social TV. Nous avons donc franchi une étape enrichissante dans le partenariat qui lie la chaîne au Social Media Lab.

Gaétan Santarelli


 

Un premier test fructueux

Le commentaire de Tiffany Andry, assistante de recherche au Social Media Lab.

Cette première expérience de social TV menée par Gaétan au sein du Social Media Lab inaugure la possibilité pour nos étudiants de disposer d’un véritable usability lab dans le cadre de leurs travaux et de leurs projets universitaires les plus ambitieux. Le dispositif de notre étudiant était très pertinent. Il a pu, grâce au soutien de l’équipe technique du lab, produire trois expérimentations de deux heures dans un espace tout à fait adapté scientifiquement au travail qu’il réalise. Cette opportunité permet aussi à l’équipe du lab de tester son caractère « usability » et de l’améliorer au maximum pour son inauguration officielle, prévue fin 2016. De plus, non seulement mis à la disposition de notre étudiant, le lab a également servi notre partenaire TéléMB. Ce premier pas combine trois préoccupations qui sont au cœur des intérêts du laboratoire : disposer d’un espace ergonomique et propice aux expérimentations, donner de belles opportunités à nos étudiants et être disponible pour nos partenaires. Finalement, l’expérience de Gaétan Santarelli au sein du Social Media Lab confirme la faisabilité d’un projet collaboratif d’envergure, alliant entreprises, étudiants et chercheurs de tous horizons.

 

 

Le Knowledge Management ou les bienfaits de la connaissance en contexte professionnel

C_Ls_wvMIe vendredi 5 février, nous étions à Bruxelles, au Centre Belge de la BD, pour le dixième club utilisateurs de notre partenaire Knowledge Plaza. Si la journée dans son ensemble était plus qu’enrichissante, c’est l’esprit novateur de l’entreprise et la manière dont en parlent les clients qui nous a le plus marqué.


12714453_10153956172447460_1585128735_nNeuf heures trente. Nous arrivons au Centre Belge de la Bande Dessinée, dans un cadre plus qu’agréable, où une conférence intéressante s’apprête à commencer. Dans la salle, tout autour de nous, s’agitent des représentants d’entreprises belges, françaises et suisses. Lorsque nous tendons l’oreille, ce sont les éloges de Knowledge Plaza qui se font entendre : la plateforme fait maintenant partie intégrante de leur communication interne et de leur management. Voilà qui est très séduisant pour les prospects qui sont venus en apprendre un peu plus à propos du knowledge management et de ce qui permet de l’articuler.

 

Il y a de quoi être intéressé : Knowledge Plaza, c’est la plateforme web et mobile consacrée au social knowledge management. Dans une entreprise, une connaissance partagée par tous peut devenir un réel avantage compétitif. En stimulant une intelligence collective, une entreprise peut faire émerger de ses employés de nouvelles pratiques utilisées par tous, puisque la connaissance est partagée. C’est ainsi en visant la collaboration et l’innovation que les utilisateurs de la plateforme peuvent évoluer de manière proactive dans leur environnement. Cependant, Knowledge Plaza n’est pas un outil magique qui révolutionne totalement le management d’une entreprise sans aucun effeort. Et c’est ça qui nous intéresse…

 

La conférence a commencé avec une présentation de Valérie Martin, Head of Scanning and Reputation Unit, et Julie Boudet, Information Analyst au Comité Internationale de la Croix Rouge. Le but de cette organisation est de venir en aide aux personnes touchées par la guerre à plusieurs endroits du monde en toute impartialité et neutralité. Pour que les collaborateurs puissent agir au mieux, l’enjeu était de taille : mettre à leur disposition un ensemble d’articles issus d’une veille médiatique sur les différents conflits dont sont victimes les personnes secourues par le CICR. Evidemment, il ne s’agit pas du seul rôle de la plateforme qui est aussi utilisée pour un échange de bonnes pratiques. La mise en place d’un tel processus n’était pas à prendre à la légère : l’utilisation d’un nouvel outil sur le web change considérément les pratiques de travail des employés, tandis que la mise en place de la plateforme ne se fait pas sans stratégie. Pourtant, le CICR y est arrivé, visant encore aujourd’hui le perfectionnement dans cette grande thématique qu’est le Knowledge Management.

12666327_10153956172107460_1661727686_nC’est ensuite avec un retour d'expérience sur un usage centré sur la gestion des connaissances que nous avons poursuivi notre matinée. Jean-Luc Abelin, expert en knowledge management ayant travaillé pour Lafarge par le passé, a partagé avec les auditeurs ses conseils et apprentissages à propos de l’implémentation d’une plateforme de ce genre. En effet, pour le knowledge manager, c’était clair : la mise en place et l’utilisation d’une plateforme de KM en ligne, ça se vend. La communication marketing en interne est alors au beau fixe. « Tout est une histoire de communication : c’est avec elle que les points de blocage sont à résoudre ». Après avoir démontré pourquoi une stratégie forte est à mettre en place au préalable, il conclut que « la collaboration coûte, le partage rapporte ». L’utilisation de la plateforme par les parties prenantes de l’entreprise a finalement permis de conserver un savoir précieux dans le domaine du ciment et du béton, mais a également permis de produire un réel bénéfice. Que demander de plus ?

Antoine Perdaens, CEO, et Lionel Dricot, Head of Product de Knowledge Plaza ont ensuite pris la parole de manière énergique et visionnaire.  Innover et avancer : la force interne est collective. La connaissance doit être un service disponible à tous, pour que tous les membres d’une entreprise puissent réagir ensemble face à un événement. En contribuant à la connaissance collective et en l’utilisant, chaque employé fait avancer son entreprise : « la connaissance n’est rien si elle n’est pas partagée ». La conférence se termine dans la bonne humeur et sur un positionnement fort.

 

jizsjpPourtant, notre apprentissage n’est quant à lui pas terminé… Au tournant des conversations, les représentants des entreprises présentes, de manière toute naturelle, parlent de l’actualité de leurs entreprises. Dans ces discussions, la force d’une connaissance partagée et transparente se fait encore entendre. Pour les uns, le turnover signifie une perte de connaissance et d’expertise. Stagiaires, jeunes employés ou retraités emmènent souvent leur connaissance avec eux lorsqu’ils quittent l’organisation. Une connaissance que Knowledge Plaza peut conserver, si tant est que l’on conscientise ces derniers de la valeur de leur expertise. Pour d’autres, la plateforme facilite le travail de veille qui est effectué plus couramment qu’on ne le pense dans les entreprises. Là encore, le métier de veilleur est peu reconnu ; le knowledge management peut mettre en avant les connaissances et compétences détenues par les veilleurs. Les exemples de l’importance du knowledge management ne cessaient donc de fleurir devant nous…

 

A ce stade, une question pourrait vous effleurer l’esprit : pourquoi un laboratoire travaillant sur les médias socio-numériques en contexte professionnel s’intéresse à tout cela ? Ce n’est pas évident au premier abord, mais pourtant cela coule de source. Tout d’abord, le contexte dans lequel se déploie Knowledge Plaza – et les solutions de knowledge management en général – est purement professionnel. Ensuite, l’utilisation du web et du mobile sont en plein dans notre thématique : les contenus sont accessibles n’importe où, ce qui facilite grandement l’accès à la connaissance… grâce au web. Aussi, certains considèrent Knowledge Plaza comme un réseau social d’entreprise. Ce n’est pas tout à fait faux et, bien qu’il soit beaucoup plus que ça, l’équipe de KP est désireuse d’améliorer encore ses fonctionnalités sociales. Et si, pour qu’un réseau social d’entreprise fonctionne bien, il fallait plus que de simples fonctions sociales ? Quoi qu’il en soit, de réelles communautés existent sur la plateforme, et il convient de parvenir à les gérer correctement. Définitivement, on ne compte plus les raisons pour lesquelles le social knowledge management révèle un intérêt pour le Social Media Lab. Ce vendredi, notre précieux partenaire nous a de nouveau montré qu’il ne fallait pas être effrayé par l’innovation : une entreprise peut posséder les meilleurs outils du web et une plateforme ergonomique, il n’en reste pas moins que sa force réside dans ses hommes… d’autant plus s’ils partagent leurs connaissances. Une conviction qui fait la réussite de Knowledge Plaza.

 

 

Certificat en communication web : en route vers la deuxième édition

La deuxième édition du certificat universitaire en communication web approche à grands pas. Les inscriptions sont ouvertes !

La formation est organisée par l’Ecole de Communication de l’UCL. Elle est destinée à ceux qui souhaitent comprendre les métiers de la communication à l’heure du web et acquérir des compétences informationnelles, analytiques et éditoriales dans le champ du numérique. Demandeurs d’emplois ou personnes en activité sont les bienvenus, s’armant ainsi de nouvelles pratiques et de méthodes de travail souvent attendues des employeurs.

Les cours et séminaires seront dispensés du 4 mars au 4 juin, les vendredis et samedi, à Mons, sur le campus de l’UCL. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au vendredi 26 février. Le certificat, composé de 140 heures de cours, est assorti de 18 crédits.

Toutes les informations (cours dispensés, conditions d’admission, infos pratiques,…) se trouvent sur le site web du Social Media Lab. Financée par le FSE, cette formation de niveau universitaire permet à un public professionnel se déployer dans un domaine en pleine expansion : le web.

Certificat en communication web : let’s go !

La machine est lancée ! Le certificat en communication web a débuté la semaine passée.

Vendredi dernier, les apprenants inscrits au certificat en communication web ont pu participer à leur première journée de cours. Au nombre de 15, ils se sont montrés très positifs et enthousiastes à l’idée de commencer la formation. Ils ont également pu exprimer leurs attentes vis-à-vis du programme proposé. Pour les uns, s’y connaître dans le digital est essentiel à l’heure actuelle, cette compétence étant la plupart du temps exigée par les recruteurs. Pour d’autres qui s’y connaissent quelque peu, il est important de pouvoir se spécialiser davantage et de pouvoir mettre des mots sur leurs pratiques déjà existantes. Finalement, pour tous, le plus important est d’avoir une vision plus large et stratégique des outils et des pratiques sur le web ; un regard critique et analytique qui leur permettra, dans leur futur professionnel, de prendre de bonnes décisions. Pour eux, le certificat est aussi, d’une manière, un moyen d’élargir son réseau professionnel.

Après une journée de mise au point, les apprenants sont revenus le samedi matin avec le sourire. Ils viendront encore passer 10 week-ends sur les bancs de l’UCL Mons. Au mois de février, après s’être familiarisés avec la production de contenu, les données sur le web, la com’ corporate web ou encore le marketing digital, ces 15 personnes recevront le certificat, assorti de 18 crédits.

Les formateurs donneront donc le meilleur d’eux-mêmes pour satisfaire les participants qui, dès leur premier jour, ont montré leur soif d’apprendre. Un programme chargé à parcourir et des attentes à combler : ce sont les défis à relever lors de cette première édition qui, dores et déjà, s’avère très prometteuse.

Certificat en communication web

Certificat en communication web : les inscriptions sont ouvertes !

Le certificat universitaire en communication web commence en novembre prochain, il est encore temps de s’inscrire!

Le certificat, organisé par l’Ecole de Communication de l’UCL, offre à un public professionnel – en activité ou en recherche d’emploi – une formation universitaire de haut niveau et complète : à côté de modules généraux pour apprendre à utiliser les données qui circulent sur le web et à les utiliser pour produire du contenu éditorial adapté, il propose des modules approfondis qui permettront aux professionnels d’acquérir des compétences dans les différents métiers de la communication web.

D’un volume de 140 heures, avec des séances regroupées uniquement les vendredis et samedis, la formation s’étend sur un peu plus de trois mois. La première édition commence le 13 novembre.

Pour tous les détails sur le programme, nos intervenants de haut niveau et les conditions d’accès*, rendez-vous sur le site:

Le certificat en communication web

*Accessible également aux titulaires d’un diplôme non universitaire en communication ou aux personnes ayant 5 années d’expérience dans le domaine de la communication moyennant le respect de certaines conditions