Retour sur la journée PRO Web design, UX & Usability avec Digital Wallonia

Ce mardi 9 octobre 2018 avait lieu, au Social Media Lab, une journée réunissant des professionnel du webdesign, UX et autres. La journée, en collaboration avec Digital Wallonia, avait pour objectif de leur présenter différentes recherches et questionnements en cours au sein du SML, mais aussi le matériel de pointe du laboratoire, désormais à disposition des professionnels et industriels wallons.

Durant la journée, cinq thèmes ont été abordés : dataviz, gamification, plateformes collaboratives, mesures sécuritaires dans l’internet des objets et combinaison agile-UX, présentés par des chercheurs et professeurs du SML. Une démonstration du matériel a ensuite été réalisée.

Redécouvez le contenu des présentations ci-dessous !

Les défis de la conception d’une visualisation de données aujourd’hui

Tiffany Andry, spécialiste en visualisation de données.

 

Comment créer l’engagement par la gamification

Prof. Ingrid Poncin, spécialiste en marketing digital.

 

Comment stimuler l’engagement et la participation sur les plateformes collaboratives ?

Tama Rchika, spécialiste dans les pratiques collaboratives en ligne

 

Comment tenir compte de l’aversion au risque dans la construction d’un site de vente d’objets connectés

Emma Vandenbrande, communications & marketing Officer chez Digital Security.

 

Agile User-Centered Design Integration: the UX artifacts that work

Prof. Suzanne Kieffer, spécialiste en méthodologie de conception.

 

Atelier de découverte des outils du Usability Lab

Journée PRO Web design, UX & Usability avec Digital Wallonia

En collaboration avec le réseau Coworking|Digital Wallonia, nous avons le plaisir de vous inviter à une journée destinée aux professionnels de la conception web. Rendez-vous le 9 octobre 2018 de 9h30 à 16h30. Destinée aux professions du web (UX designers, concepteurs web, web architects, …), la journée se déroulera au Social Media Lab.

Au programme de cette journée exceptionnelle:

  • 09h30Accueil
  • 10h00: Mot d’introduction par le Prof. François Lambotte, Fondateur du Social Media Lab et Lisa Lombardi, Coordinatrice Coworking|Digital Wallonia.
  • 10h30 : Les défis de la conception d’une visualisation de données aujourd’hui, Tiffany Andry, spécialiste en visualisation de données.
  • 11h00 : Comment créer l’engagement par la gamification, Prof. Ingrid Poncin, spécialiste en marketing digital.
  • 11h30 : Comment stimuler l’engagement et la participation sur les plateformes collaboratives ? Tama Rchika, spécialiste dans les pratiques collaboratives en ligne et hors ligne et Tiffany Andry, spécialiste en visualisation de données.
  • 12h00Lunch networking.
    13h30 : Comment tenir compte de l’aversion au risque dans la construction d’un site de vente d’objets connectés, Emma Vandenbrande, communications & marketing Officer chez Digital Security.
  • 14h00Intégrer l’expérience utilisateur (UX) dans un environnement de développement agile : les artefacts UX qui fonctionnent, Prof. Suzanne Kieffer, spécialiste en méthodologie de conception.
  • 14h30 : Atelier de découverte des outils du Usability Lab à votre disposition pour vos projets de conception web.
  • 16h30Fin.

 

Cette journée vous est proposée gratuitement grâce au soutien de Digital Wallonia et des partenaires du Social Media Lab. N’hésitez pas et inscrivez-vous sur Eventbrite !

 

 

Crowd and Communities : la valeur ajoutée d’un croisement interdisciplinaire

Ce jeudi 12 janvier s’est tenue « Crowd and Communities », une journée d’étude organisée par le Social Media Lab. Plusieurs chercheurs d’horizons différents étaient invités à présenter leurs travaux de recherche, qu’ils n’en soient qu’à leurs prémices ou presque aboutis. Marketing, communication, linguistique, informatique ou encore gestion : ces diverses disciplines se sont retrouvées, le temps d’une journée, au carrefour de réflexions sur les plateformes digitales, les médias socio-numériques, les pratiques professionnelles liées et différents enjeux du numérique.ceowd1

Et de fait, cela tenait tout son sens, tant l’expansion du digital impacte plusieurs domaines, induisant des types de questionnements différents, mais sur un fond similaire.

C’est Félix Sommer, chercheur en fin de thèse à l’institut multidisciplinaire pour la modélisation et l’analyse quantitative (IMMAQ), qui a ouvert le bal en présentant ses questions de recherche et sa méthode. Sa recherche concerne les systèmes de recommandation que tout consommateur en ligne a l’habitude de retrouver sur des sites de vente, tel Amazon. Son objectif de recherche global est de construire un modèle multi-niveau de système de recommandation. L’accomplissement de cet objectif est propice au questionnement. Parmi d’autres questions de recherche potentielles, le chercheur a exposé une interrogation en ce qui concerne le choix de l’algorithme mis en place par le recommandeur qui pourrait être influencé par son environnement offline et online. Cette présentation dense était une belle entrée en matière pour la plupart des chercheurs présents, tant elle montrait les intérêts communs du marketing, de l’informatique, des statistiques et des possibilités technologiques ouvertes par le numérique.

S’en est suivi une Poster Session durant laquelle 5 jeunes chercheurs ont présenté le projet de thèse qu’ils mettront en place dans les années à venir.
La session a commencé avec une question de recherche dans le champ de la visualisation d’information : « Qu’est-ce qui, dans les visualisations de données, aide les destinataires à produire du sens et à poser une action ? Quel est l’impact des pratiques d’embellissement sur la construction de sens du récepteur ? » Cette question de recherche sera traitée par Tiffany Andry, assistante de recherche au Social Media Lab.
Ensuite, le projet de Damien De Meyer, chercheur au Social Media Lab également, consiste à produire une analyse linguistique à partir des forums de Doctissimo. Son but sera de produire, à partir d’une analyse textuelle automatisée, un ensemble de connaissances et de métriques qui pourront être exploitées tant par les animateurs que par les utilisateurs d’une communauté en ligne.
Laetitia Lambillotte, chercheuse au LouRIM sous la chaire IPM-Digital Marketing, entreprend une recherche sur la personnalisation des sites web. Elle s’intéresse à la perspective du consommateur en étudiant l’expérience de personnalisation, ainsi que les antécédents et conséquences de cette expérience.
Dans le domaine entreprenarial, Amélie Willaume, assistante à la Louvain School of Management, cherche à comprendre quelle est l’influence de la narration entrepreneuriale sur l’attitude et la prise de décision des pourvoyeurs de fonds dans un contexte de crowdfunding.
Finalement, Tama Rchika, chercheuse au Social Media Lab, s’interroge sur la définition de l’intelligence collective et sur les facteurs qui stimulent son émergence. Elle se concentre pour cela sur les plateformes collaboratives en ligne.
Les cinq chercheurs ont pu débattre à propos de leur projet avec les personnes présentes. De fait, il semblerait qu’un commentaire venant d’un chercheur d’une autre discipline puisse parfois offrir une vision des choses plus larges ou permette de générer des idées qui n’auraient pu exister sans ce croisement disciplinaire. De fait, les disciplines peuvent parfois être cloisonnées, et de telles discussion en début de thèse peuvent amener à reconstruire une réalité que la discipline a morcelée. Les jeunes chercheurs sont ressortis encouragés et enrichis de cette expérience.

Durant l’après-midi, quatre chercheurs bien lancés dans leur parcours doctoral ont ensuite pris les rênes de la journée.
Ainsi, Nicolas Vanderbiest, assistant en communication et au LASCO à l’UCL, a montré comment il a analysé des crises sur Twitter au cours de ces derniers mois. En effet, le réseau social est très utilisé durant les périodes de crise, ce qui permet un terrain d’étude intéressant. Le chercheur a donc choisi de s’attarder sur les crises engendrées par les 5 derniers attentats en date en Europe. Nicolas ne s’est pas étendu sur la méthodologie employée mais a pris soin de présenter quelles sont les limites principales d’une telle étude, qui concerne un phénomène nouveau dans un certain contexte culturel.
Damien Renard, professeur en communication dont l’intérêt porte sur le marketing viral et les communautés en ligne, a présenté son étude des modes relationnels et du processus de créativité à l’intérieur de plateformes de crowdsourcing d’idées. Son étude est encore en cours et se révèle captivante. Il s’interroge sur les plateformes co-opétitives (la coopétiton est une contraction des mots coopération et compétition) et sur leur impact sur le processus de génération d’idées créatives. Il a pu expliquer ses premiers résultats, après une analyse menée sur une plateforme de crowdsourcing d’idées bien connue.

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La présentation de Thomas Leclerc, chercheur en Marketing à l’UCL, ensuite, était tout à fait en lien avec le sujet. De fait, il se demande quels sont les effets réels de la gamification pour un participant qui perd au jeu de la marque qui se met en scène. Quel est son engagement envers l’entreprise après l’échec au jeu ? L’engagement du consommateur envers l’entreprise, avant qu’il ne joue, a-t-il un impact lorsque le consommateur perd ? Le chercheur a présenté les résultats de son étude menée dans un contexte réel. Ils seront également disponibles dans le papier qu’il vient de soumettre dans le cadre de sa thèse en gestion.

Finalement, Sophie Huys, doctorante en communication et au LASCO, a expliqué l’avancement de son projet de thèse qui concerne les plateformes numériques dans les ONG. Elle mène effectivement une ethnographie chez Greenpeace afin de comprendre quelle est la fonction d’une plateforme interne dans la reconfiguration de cette ONG qui se restructure peu à peu. Entre autres, la chercheuse a pu débattre de l’observation participante et des bienfaits que celle-ci lui procure en ce qui concerne la veille et l’analyse de la plateforme digitale.

Quoi qu’il en soit, la conclusion de cette journée est très positive. Elle a permis aux chercheurs présents – mais aussi aux anciens étudiants et professionnels qui souhaitaient connaître quel est l’élan des recherches actuelles – de sortir des sentiers battus. Si cela peut parfois sembler déstabilisant, il s’avère que le retour sur son propre objet de recherche peut être agréablement surprenant, tant le chercheur peut se sentir stimulé. Si l’on en croit E. Morin, selon qui le tout vaut bien plus que la somme des parties (1977), il y a une vraie plus-value à mettre en commun tant de recherches différentes. C’est sans aucun doute l’avantage de l’interdisciplinarité, qui, en rassemblant des personnes de divers horizons sur un sujet bien précis, a le pouvoir de booster chacun de ces chercheurs à bloc, et de faire avancer la connaissance de manière générale et non morcelée. Finalement, les plateformes digitales sont un objet d’étude qui a encore de beaux jours devant lui…

La Social TV par les étudiants et pour les étudiants : une récolte d’idées très fructueuse

Jeudi dernier, le Social Media Lab et Télé MB ont participé à la semaine de la créativité en encadrant, de concert, des ateliers créatifs à propos de la télévision de demain. Durant toute la journée, une quarantaine d’étudiants a pu expérimenter des dispositifs d’information sur les réseaux sociaux tout en exprimant leurs idées, le tout sur le thème « La Social TV par les étudiants et pour les étudiants ».

Les étudiants, ressource pour la télévision locale

Toucher un jeune public est un défi majeur pour la majorité des télévisions locales en Wallonie. Télé MB en est conscient depuis plusieurs années. Pour les attirer, la chaîne de télévision a lancé il y a deux ans « 2015 histoires », une émission interactive ayant pour sujet Mons, capitale européenne de la culture en 2015. Télé MB testait ainsi pour la première fois le concept de Social TV. En permettant au public de réagir aux différents contenus via les réseaux sociaux, la chaîne espérait attirer de jeunes personnes de manière dynamique. Le Social Media Lab s’intéresse également à ces questions d’interactivité et de nouveaux médias. C’était donc l’opportunité pour les deux partenaires de laisser libre court à l’imagination des étudiants : qui d’autre pour imaginer quelle sera la télévision de demain ? Les idées des étudiants pouvaient donc émerger en étant adaptées au public visé. Et puisque l’on parle de télévision participative, ils pouvaient également imaginer des contenus productibles par des étudiants.

Une journée test

Ce jour de co-création a été un véritable laboratoire pour les deux partenaires qui ont expérimenté de nouvelles choses. Les étudiants ont été répartis en ateliers et changeaient de sujet de discussion toutes les demi-heures. Cependant, ne vous imaginez pas qu’ils aient été contraints de rentrer dans un moule défini par des professeurs : les étudiants s’auto-géraient. La seule consigne : trouver des idées et les approfondir. On tourne toutes les 30 minutes et pendant ce temps, l’impossible n’existe pas ! Un système très rentable puisque les esprits débordaient d’idées. Les étudiants ont également présenté à chaque fin d’atelier leur état d’avancement lors d’un live d’une minute, avant de présenter leur travail en fin de journée, retransmis en direct via YouTube et Hangouts également. Un second test tout à fait probant, qui s’est déroulé sans grosse erreur technique. Les présentations des étudiants sont encore disponibles en ligne. Finalement, puisqu’ils discutaient d’interactivité, les étudiants et extérieurs avaient également la possibilité de s’exprimer via le hashtag #campus2025. Il n’a pas fallu longtemps pour que les réactions s’enchaînent, entraînant parfois un peu de compétition positive. Au final, qu’il s’agisse du système de co-création, des moyens utilisés pour communiquer sur les progrès du travail ou encore de l’interactivité en elle-même, les différents essais menés par le duo SML-Télé MB se sont révélés très concluants.

Animer une véritable communauté étudiante

Pour Télé MB qui réfléchit à son avenir, il est tout à fait opportun de recueillir des idées parmi les étudiants. Non seulement parce qu’ils constituent un jeune public important à toucher, mais aussi parce que Mons est une ville estudiantine importante de la région. Deux universités et plusieurs Hautes-Ecoles accueillent chaque jour des milliers d’étudiants sur leurs bancs. Une véritable communauté qui fait vivre la ville et ses alentours. Dès lors, à l’heure où la télé ne se regarde plus seulement mais se vit, il convient de pouvoir animer cette communauté autour de sujets qui lui parlent. Il est alors intéressant pour la chaîne de télévision locale de voir comment les jeunes connectés produiraient du contenu pour leurs pairs. Intéressant aussi pour le Social Media Lab, qui compte réunir toute l’expertise nécessaire sur le sujet.

Challenge relevé !

Au final, ce sont quatre pilotes d’émissions qui ont été produits en une journée. L’enthousiasme des étudiants n’y a sans doute pas été pour rien. Stuly, Bande de Singes, InstaLife et On n’est pas kotés sont les projets développés par les étudiants. Ils constituent de grands réservoirs d’idées et de ressources pour Télé MB. De manière générale, les étudiants prônaient des émissions courtes basées sur des rubriques rythmées selon la vie des étudiants. Bien souvent, les téléspecta(c)teurs pouvaient choisir une rubrique dans la semaine ou poser des questions en live. Mais pas d’inquiétude : derrière cette tendance globale, chaque équipe a fait preuve d’une imagination étonnante. Cette journée, c’est finalement 100% de bénéfice pour le Social Media Lab et son partenaire puisqu’elle constitue la genèse d’un projet d’envergure. Rien ne sera laissé au hasard : Télé MB et le SML feront de ce rêve de Social TV étudiante une réalité au plus tard en 2017. Affaire à suivre…

Ne manquez pas le reportage de cette journée sur le site web de Télé MB !

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Pour une première expérience, la social TV s’empare du Social Media Lab

Les 23 et 24 mars 2016 a eu lieu la première expérience au sein du Social Media Lab. C’est Gaétan Santarelli, étudiant de 2ème Master en communication à l’UCL Mons, qui l’a réalisée. Cette expérience a été menée dans le cadre de l’immersion professionnelle qu’il mène à TéléMB, la chaîne de télé locale de Mons-Borinage, également partenaire du Social Media Lab. Il nous fait part de son ressenti à propos des expérimentations menées au sein du laboratoire.

La Social TV de TéléMB : 2015 histoires

Mon projet d’immersion consiste en une analyse de la première émission de Social TV de TéléMB : 2015 histoires. La social TV, en quelques mots, c’est apporter une interaction sociale à la télévision, penser le contenu second écran, mettre le téléspectateur au centre du projet de l’émission. Cela implique un décloisonnement des différentes équipes de production et un travail important de community management. Ce nouveau concept de télévision, TéléMB l’a mis en place pour une émission culturelle ayant pour thème “Mons 2015, capitale européenne de la culture”. Dans son émission laboratoire, la chaîne a testé plusieurs idées et a varié la manière de présenter son contenu, le tout pendant deux ans. Ma mission consiste à apporter une analyse de cette expérience et à apporter des pistes d’amélioration pour les prochaines émissions de la chaîne. Pour mener à bien ce projet, j’ai administré un questionnaire auprès des téléspectateurs, j’ai mené des interviews auprès de l’équipe de production de l’émission et j’ai mis en place un dispositif expérimental au sein du Social Media Lab.

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salle expérimentation SML

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salle expérimentation SML
salon SML

Et si on transformait le labo en salon ?

Pendant deux jours, les responsables du Social Media Lab m’ont confié les clés du laboratoire flambant neuf. Même si tout le matériel qui y sera disponible n’était pas encore installé, j’ai pu y mettre en place un dispositif particulièrement intéressant. J’ai souhaité replacer des étudiants devant une émission de “2015 histoires” et les écouter lors de focus groups afin de comprendre leur perception de l’émission et leurs idées d’amélioration. Afin de les accueillir dans un contexte adéquat pour regarder la télévision, j’ai pu installer des fauteuils dans le laboratoire, disposer d’une télévision, etc. C’est dans un vrai petit salon que les étudiants ont pu s'asseoir pour regarder l’émission. Puisque l’émission se veut « connectée » j’ai remis en place la stratégie des réseaux sociaux utilisée par TéléMB et ce, en direct, lors de l’expérience. J’ai créé des groupes Facebook fictifs, un hashtag pour Twitter et j’ai placé un Tweetwall à côté de la télévision. Les cobayes pouvaient donc vivre l’expérience “2015 histoires” à 100 %, pendant que je m’occupais du community management dans la régie du lab, tout en gardant un œil sur leurs réactions et comportements !  

L’espace et l’équipe technique du laboratoire ont pu me permettre de mettre en place un dispositif expérimental tout particulier et innovant. Il m’a permis de récolter des données d’une grande qualité qui me seront utiles pour la production d’une analyse qui dépassera la simple observation. Ce travail apportera un regard réflexif à TéléMB qui souhaite poursuivre ses avancées dans la social TV. Nous avons donc franchi une étape enrichissante dans le partenariat qui lie la chaîne au Social Media Lab.

Gaétan Santarelli


 

Un premier test fructueux

Le commentaire de Tiffany Andry, assistante de recherche au Social Media Lab.

Cette première expérience de social TV menée par Gaétan au sein du Social Media Lab inaugure la possibilité pour nos étudiants de disposer d’un véritable usability lab dans le cadre de leurs travaux et de leurs projets universitaires les plus ambitieux. Le dispositif de notre étudiant était très pertinent. Il a pu, grâce au soutien de l’équipe technique du lab, produire trois expérimentations de deux heures dans un espace tout à fait adapté scientifiquement au travail qu’il réalise. Cette opportunité permet aussi à l’équipe du lab de tester son caractère « usability » et de l’améliorer au maximum pour son inauguration officielle, prévue fin 2016. De plus, non seulement mis à la disposition de notre étudiant, le lab a également servi notre partenaire TéléMB. Ce premier pas combine trois préoccupations qui sont au cœur des intérêts du laboratoire : disposer d’un espace ergonomique et propice aux expérimentations, donner de belles opportunités à nos étudiants et être disponible pour nos partenaires. Finalement, l’expérience de Gaétan Santarelli au sein du Social Media Lab confirme la faisabilité d’un projet collaboratif d’envergure, alliant entreprises, étudiants et chercheurs de tous horizons.